Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 avril 2009 7 05 /04 /avril /2009 18:00
Notre collaboratrice et déesse MDS vient de faire une entrée fracassante dans la blogosphère.

http://mexicanspitfire.blogspot.com/



Vous êtes invités à aller lui lécher les orteils, et vous procurer ses formidables compilations Psycho-bataves.

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2008 4 10 /01 /janvier /2008 19:03

Propos recueillis et traduits par Uder Mermouch

Michael Yonkers, né en 1947 à Minneapolis-MN, vit et travaille à Saint Paul-MN.

Uder Mermouch: Vous étiez un jeune adolescent au début des années 60, que pouvez-vous nous dire de cette époque?

Michael Yonkers: C’était une époque où les «vents du changement soufflaient très fort». C’était aussi une époque de grands espoirs. Je me souviens du sentiment que j’avais d’être convaincu qu’à l’époque si les gens rencontraient des problèmes, ils cherchaient à les comprendre et ça suffisait à les résoudre... maintenant, quarante ans après... tout me semble à peu près pareil, mais en bien pire. Au delà des évidences, ce qui me frappe le plus c’est combien se déplacer est devenu difficile. Que ce soit en voiture, en avion etc., tout peut aller plus vite... mais il me semble que ça prend toujours plus de temps. Autre chose, à l’époque si je voulais emporter de la musique à l’extérieur, je n’avais qu’à emporter une lourde boîte de la taille d’une valise et quelques vinyles, à l’intérieur de cette boîte se trouvait une platine portative, le son sortait par une corne directement reliée par le bras à la tête de lecture.

Vous intéressiez-vous déjà à la musique? Pouvez-vous nous dire quand et comment vous y êtes vous intéressé, vos premiers enthousiasmes?

Ma mère m’a raconté que dès ma plus tendre enfance elle se souvient m’avoir vu enthousiasmé par la musique. Mon premier vrai «appel» ou mon premier «réveil» s’est produit lorsque j’ai entendu les premiers morceaux dits «rock» sur une station FM. Mon père écoutait beaucoup de country, il n’y avait pas vraiment de stations «rock», cette musique commençait à peine à être reconnue et diffusée et là où nous vivions on ne pouvait justement en entendre que sur les stations country. C’est quand j’ai entendu Buddy Holly que je me suis dit «je veux faire ça». Avec l’argent que je reçus pour mon premier petit boulot, je m’achetai un des premiers transistors, une vraie nouveauté à l’époque. Je pouvais le mettre sous mon oreiller et écouter une antenne locale en douce toute la nuit.

Après le lycée, aviez-vous une idée de ce que vous feriez, ou simplement de ce que vous vouliez faire?

J’ai réussi tout juste à avoir mes examens de fin d’études secondaires. Je ne savais pas du tout ce que j’allais faire, même si l’idée de devenir garde forestier m’avait paru assez séduisante. A cause de mes résultats scolaires passables, j’ai dû obtenir une dérogation pour entrer dans un college1. J’y ai suivi une grande variété de cours sans réelle orientation. Lors de ma troisième année j’ai trouvé un boulot dans un magasin de fournitures de musique. La nuit, le patron bossait à des travaux personnels: il s’agissait par exemple de concevoir de gigantesques (pour l’époque) amplis et enceintes.

Il me proposa de l’aider. Ainsi, j’abandonnai plus ou moins les cours pour le suivre dans ses projets. Il m’est difficile de dire combien j’ai appris sur les équipements sonores, le matos en général de cette manière là, ça a été une expérience pivot.

A quoi ressemblait la scène à Minneapolis-Saint Paul au milieu des années 60, y étiez-vous impliqué?

La scène des «Twin cities» était très vivante, vraiment «hot», elle l’est toujours. Mais à l’époque comme aujourd’hui, tu dois «aller» vers cette scène, tu dois être aiguillé par quelque chose pour trouver quoi que ce soit d’intéressant. J’ai joué pour la première fois en public en 1962, donc on peut dire que je faisais partie de cette scène musicale. En 1965 j’avais mon propre groupe Michael Yonkers & the Mumbles qui comprenait quatre membres. Nous étions les seuls à pouvoir jouer nos propres compositions pendant un set de 45 minutes. Fin 1966 un des membre est parti à l’armée, c’est à ce moment là que le groupe est devenu le Michael Yonkers Band. Nous avons composé ce qui allait devenir Microminiature Love. Toute l’année 1967 nous avons joué et répété ces morceaux, puis début 68, nous les avons enregistrés d’une traite en une heure. A cette époque la plupart des spectacles avaient lieu dans des gymnases scolaires. Il n’y avait pas de «premières parties», normalement il n’y avait qu’un groupe par concert qui jouait trois ou quatre sets de 45 minutes, il n’y avait rien entre les sets. Les spectacles les plus importants appelés «top gigs» avaient lieu dans des salles polyvalentes gigantesques, ces endroits étaient vraiment de taille colossale. L’une des grandes différences entre alors et aujourd’hui est que presque tout le monde dansait, tu vois ça d’ici!

Vous êtes célèbre pour votre passion qui consiste à trafiquer, bidouiller, transformer vos instruments et votre équipement, vous avez même été jusqu’à construire un studio qui force le respect dans la cave de vos parents. Quelle vie meniez-vous pendant ces années 1967/69? Fréquentiez-vous encore l’université? C’était une période d’effervescence pour le Michael Yonkers Band, non?

Revenons à l’époque où je commençais à jouer. Il n’y avait ni pédales ni boîtiers d’effets. Tout ce qui existait pour le musicien rock moyen c’était la réverb et le trémolo qu’il y avait sur les amplis. Si tu avais de l’argent, tu pouvais ajouter un magnéto à bandes qui lui aussi possédait un effet d’écho, mais c’était tout. Mon intérêt pour la distorsion est venu de l’écoute de vieux disques de blues dans lesquels le son était complètement modifié par les tous premiers amplis que les types utilisaient. J’ai alors essayé d’obtenir quelque chose de similaire en tailladant au rasoir de vieilles enceintes. Je passais le son sur ces baffles pour certains morceaux. J’ai continué à expérimenter dans ce style jusqu’à ce que j’ai mes premiers équipements électroniques. En 1966 j’arrivais à employer beaucoup de distorsions et autres effets inqualifiables dont je n’étais pas peu fier. J’en étais arrivé à mystifier les autres guitaristes.

J’ai fréquenté l’Université du Minnesota2 de 1965 à 1968 et encore un peu courant 69. Je n’avais vraiment rien en vue... Je laissais venir... Comme je continue à faire. J’avais la chance d’avoir mon propre studio dans la cave, chez mes parents, je pense que pour eux c’était un bon moyen de «garder un oeil sur moi».

Cette période aurait pu être couronnée par la sortie sur le label Sire de Micromiature Love dont l’enregistrement était déjà fait. Ce projet tomba à l’eau, pouvez-vous nous éclairer sur cet échec, comment l’avez-vous vécu?

Il y a pas mal de choses qui ont été dites et écrites là-dessus, je ne peux pas répondre avec certitude. J’étais alors impliqué dans les activités du studio Candy Floss-Dove, Peter Steinberg en était le directeur. Lui et moi nous entendions très bien. Après que j’eu terminé l’enregistrement de Microminiature Love, Peter l’emporta à New York et en Californie, il l’envoya également à de nombreux labels parmi les plus importants et à quelques autres moins connus. Le seul label à être intéressé fut Sire. Les gens de Sire vinrent aux studios Dove pour voir les choses de plus près. Ils offrirent un contrat. Je n’eus pas de contacts directs avec eux, mais quand le contrat arriva sous mes yeux, je le refilai à un avocat pour qu’il y jette un oeil. C’est à partir de là que l’histoire se corse. L’avocat a pris contact avec quelqu’un (au label Sire, aux studios Dove?) et il me rapporta que Sire voulait que je largue le groupe, que j’abandonne l’enregistrement que nous avions fait et que je recommence tout à New York avec des musiciens de studio. Je ne sais toujours pas qui a voulu ça, tout ce que je sais c’est que je ne larguai pas le groupe et que je ne ré-enregistrai pas l’album avec d’autres musiciens. Je ne signai donc pas de contrat et les choses en restèrent là. Si ça c’était passé aujourd’hui, j’aurais personnellement contacté Sire pour demander des éclaircissements.

Après cet échec, qu’est devenu le Michael Yonkers Band? Etes-vous resté seul, avez-vous continué à vous produire en public, qu’avez-vous fait au juste?

Le groupe s’est dissous, ce fut en grande partie dû au fait que l’armée cherchait à m’enrôler pour partir au Vietnam, pendant une année et demie «dans les limbes» j’attendis de voir comment allait tourner cette situation. En raison de cafouillages administratifs, je fus successivement appelé, puis non, puis de nouveau appelé pour finalement ne pas l’être. De toutes façons, durant cette période, je commençais à me produire en solo dans des cabarets, la première partie de mon show était entièrement acoustique et vocale, la deuxième, amplifiée et vocale, la troisième était uniquement constituée de kazoo accompagné de sons électroniques. C’est à cette époque que j’ai rencontré Milo et me suis retrouvé en complète accointance avec lui. Milo est l’un des protagonistes parmi les plus actifs du free jazz, mouvement qui m’attirait beaucoup. Je l’ai beaucoup accompagné dans ses prestations en tant qu’invité, ça a beaucoup contribué à aiguiser mon jeu.

Quelques années plus tard vous avez été victime d’un grave accident dont vous subissez encore les conséquences. A cette époque les traitements pouvaient s’avérer aussi traumatisants que l’accident en lui même, certains examens exploratoires chirurgicaux ont abîmé votre moelle épinière de manière irréversible et vous ont infligé des douleurs dont vous souffrez encore. S’agit-il d’un tournant? Les trente années suivantes de votre vie sont assez intrigantes. Pouvez-vous nous parler de ces décennies 1970/80/90? Comment avez-vous surmonté cet événement? Pouviez-vous jouer sur scène ou ne serait-ce que travailler? Cet événement catastrophique vous aurait-il poussé dans vos retranchements, vous obligeant à mener une vie plus excentrique qu’elle ne l’était?

Je me suis brisé le dos lors d’un accident qui est survenu dans un entrepôt industriel. Plus de 500 kg de ferraille me sont tombés dessus, ma colonne vertébrale a été fracturée en deux endroits. Ca marqua l’arrêt fracassant de tout ce dont j’ai parlé en rapport à la musique. Il est difficile de parler des suites car peu de gens ont entendu parler de l’affection dégénérative «adhesive arachnoiditis» causée par le «pantopaque», un agent contrastant injecté dans l’espace sous arachnoïdien du canal rachidien après qu’une ponction lombaire ait été effectuée, lors d’un examen exploratoire appelé myélographie. J’ai subi deux myélographies au «pantopaque»... et depuis, je n’ai plus jamais été le même. Le «pantopaque» contient un agent chimique si puissant qu’il peut dissoudre le caoutchouc. Il était utilisé dans le but d’obtenir des radiographies lisibles (il n’existait pas encore d’IRM). Les conséquences ont été catastrophiques pour des millions de gens, la douleur est terrible et ne s’arrête pas... Et ce n’est que le début des problèmes. Il me paraissait acquis que je ne jouerai plus jamais en public... à moins qu’un miracle se produise. L’adage selon lequel la solution réside dans le coeur même du problème a gouverné ma vie.

J’en viens maintenant à parler de mes vieilles vidéos, celles, plus d’une centaine, que j’ai mises en ligne sur YouTube3. Elles ne sont en rien «professionnelles». Il s’agit plutôt d’archives documentaires, au fil du temps j’en mettrai d’autres en ligne et au final cela constituera une véritable vidéothèque d’archives sur ma vie pendant ces décennies 1970, 1980 et 1990. Je ne pense pas avoir assez de place ici pour parler en détail de toutes ces années qui ont été très compliquées pour moi. Je préfère en effet laisser parler ces vidéos pour moi. Mais pour faire bref, dans les grandes lignes: 

- années 70: travail en usine et un peu plus tard dans des centres commerciaux,

- années 80: j’ai mon propre magasin (Loonland), j’apprends et pratique la danse (un grand nombre de styles, en particulier la danse moderne et le ballet), je fais aussi le figurant,

- années 90: j’étudie plus précisément la danse moyen-orientale, je travaille aussi dans un élevage d’ovinés,

- ce que j’ai fait invariablement pendant ces trente années: danse moderne et expérimentations sonores.

Etes-vous resté tout ce temps dans votre ville natale? Vous sentez-vous spécialement attaché à Minneapolis-Saint Paul?

J’ai passé du temps dans chacun des Etats de l’Union ainsi qu’en Europe, au Canada et en Australie. Je peux dire honnêtement que je ne me suis jamais retrouvé dans un endroit qui m’ait réellement déplu. Mais je dois dire également que je ne me suis jamais senti poussé à quitter le Minnesota, je m’y sens bien. Le temps est intéressant ici, il y a une amplitude annuelle de température de près de 50°C. J’ai lu quelque part que Minneapolis-Saint Paul a l’un des climat les plus rude de la planète (pour une agglomération de cette taille).Peut-être que je reste ici parce que j’aime souffrir.

Votre investissement sur la scène a dû changer durant cette réclusion. Vous êtes-vous impliqué dans quelques projets d’importance durant ce long chapitre de votre vie?

La musique devint quelque chose d’essentiellement intime. Quelque chose que je faisais aussi totalement seul. J’avais eu cette idée de me filmer le plus possible, je me félicite d’avoir fait ça, d’avoir eu cette approche. De temps à autres je jouais en public... mais c’était plutôt rare. J’ai eu à passer tellement de temps à me soigner pendant toutes ces années, que la musique est passée au second plan. Et je dois dire que c’est toujours un peu comme ça.

La sortie de deux morceaux, Microminiature Love et Killing the Ennemy sur la compilation Unreleased Dove Studio Cuts 1964-69, par le label de Pittsburgh Get Hip en 1997, ainsi que, suite au regain d’intérêt pour votre musique, la sortie en 2002 de l’album Microminiature Love (enrichi de six titres contemporains à l’enregistrement originel) par le label DeStijl ont fait beaucoup de bruit et vous ont fait sortir de votre silence. Qu’avez vous pensé de ce complet retournement de situation après tant de temps?

Quand cette compilation de Get Hip est sortie, j’étais heureux comme un gamin dans un magasin de sucreries, Get Hip fini d’ailleurs par sortir un 45 tours de ces deux titres. Je fus (et suis toujours) extrêmement excité par ces parutions.

Après la sortie par DeStijl de l’album lui-même en vinyle (avec les photos d’époque)... je me suis senti comme si j’étais entré au paradis.

Après la sortie en CD sur SubPop... ce fut l’extase.

Cela pouvait-il aller mieux? J’ai vraiment pensé que je devais en profiter pleinement parce que je me disais que ça ferait long-feu, sachant que de nos jours il y a quasiment une saturation constante de l’actualité musicale. Et voilà, maintenant, cinq ans après il y a toujours tout cet enthousiasme, ça m’épate.

Vous avez été décrit comme le «plus extraverti des reclus de la planète», comment vous présenteriez-vous aujourd’hui? Merci. 

Je me vois comme quelqu’un qui aime beaucoup les autres tout en aimant être pleinement moi-même. Je sais que ça va paraître étrange, mais je ne suis pas du tout fasciné par moi-même, je me vois seulement comme la personne qui est le plus susceptible d’être comme je devrais être.

Au fur-et-à-mesure que les séquelles de l’accident révélaient leur gravité, je devais me reclure de plus en plus. J’ai eu à passer tellement de temps à me soigner (et à prendre du repos suite aux thérapies) qu’il ne me restait plus que quelques heures à peu près décemment utilisables par jour.

En sorte que j’ai dû me poser la question de savoir comment je voulais passer le peu de temps qui me restait.

Donc, en ce qui concerne ma vie de tous les jours, je préfère passer le peu de temps qui m’est imparti à faire de la musique ou tout autre chose qui me plaît... plutôt que de sortir en société.

Je prends toujours plaisir à aller voir des concerts et à jouer en public dès que je peux. A soixante ans, je veux passer plus de temps à regarder ce que j’ai accompli.

J’ai beaucoup de matière, vidéo et photo à regarder, à explorer. J’aime dire «mon futur est mon passé». Ca me va, parce que la plupart des gens à qui je parle sont plus intéressés par ce passé que par ce que je fais maintenant. Mais après toutes ces années, je réalise que «le présent est le passé de demain».

1. College: établissement local public d’enseignement supérieur ne proposant que des cycles courts à vocation professionnelle.

2. University of Minnesota: une des deux universités du système public dont dispose chaque Etat. Plus prestigieuses que les simples «colleges», elles offrent des cursus généraux longs et diversifiés qui aboutissent aux célèbres masters.

3. Pour visionner les vidéos de Michael Yonkers: entrez Bonusmouse sur YouTube.

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
28 décembre 2007 5 28 /12 /décembre /2007 19:36

M. Poire s'en est allé rejoindre Randall Webb, Marvin Marty, Don Creux, Emilio Fernandez et tous les personnages qui l'ont inlassablement inspiré jour après jour, lui qui était comme personne un réceptacle solaire, un vase ouvert vers lequel convergeaient tous les rayons Psycho-bataves. Personnage modeste, conscient de ses limites intellectuelles et surtout de son inaptitude fondamentale à diriger le monde et faire preuve d'autorité, M. Poire aura tout de même, à force d'efforts constants, atteint la fonction de consigliere de Jean Pop II, titre qui ne lui fut jamais contesté ni par son Maître, ni par de fantoches courtisans tel qu'il en gravita souvent autour du Maître.

Dernière image heureuse de M. Poire

Sa présence onctueuse, ses dons de diplomate, son aptitude à tiédir le propos quand il se fait trop débordant, son éloquence timide, son humour en demi-teinte et son hilarant stoïcisme face aux diverses épreuves qu'il dût subir seront regrettés par sa famille, ses quelques amis et les patients de l'hôpital Jean Calvin de Lausanne.

Nous saluons notre collaborateur et ami Jean-Pierre Paul Poire, trop tôt disparu.

 

The Juniors - Lost friend

 

Partager cet article
Repost0
29 mars 2007 4 29 /03 /mars /2007 16:53

Le monde Psycho-Batave est en émoi !!!

Nos théories se trouvent une fois de plus avérées !!!

L'Iran est Un Pays PB !!!

Le président de la République Islamique Iranienne Mahmoud ahmadinejad a choisi "The eagle never hunts the fly" de The Music Machine pour hymne officiel !

Les images de la cérémonie :

 

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2006 4 28 /09 /septembre /2006 04:16
Partager cet article
Repost0
16 août 2006 3 16 /08 /août /2006 20:46

Qu'a fait Uder Mermouch pour mériter que Jeanpop2 le rosse de telle manière au son du "Revenge" de Kookie Cook ?

kookie Cook - Revenge

          Prix :

     1 - Le 45 tours original du "She was good" de The Talismen.

     2 - Le foulard que Kleist offrit à Henriette Vogel à la fin de l'hiver 1811.

     3 - lou ride.

Partager cet article
Repost0
5 juillet 2006 3 05 /07 /juillet /2006 11:16

A quelle vestale accompagnant Jean Pop II est adressé le déchirant "Get out of my life" de Little Anthony & The Imperials, et pour quelle raison ? 

 

                                    

Little Anthony & The Imperials - Get out of my life

    

     Prix :

            1 - L'acétate du "Voices green and purple/Trip to New-Orleans" de The Bees.

            2 - Le rôle principal dans le prochain film de Brian De Palma.

              3 - Un manuel de cuisine indienne Psycho-Batave.

Bonne chance !!!

Partager cet article
Repost0
21 mai 2006 7 21 /05 /mai /2006 11:51

 

Comme vous le savez, l'ancien M. poire fut limogé de l'émission pour trahison de la cause Psycho-Batave et non-allégeance au principe de légende dans son état natal.

 

 

Nous vous présentons le nouveau M. Poire, transfuge du gouvernement Turc, où il tenait le rôle de secrétaire personnel du BACHI BOULUK BACHI dans le corps des Janissaires d'Anatolie.

Saluez-le comme il se doit.

Partager cet article
Repost0
18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 12:39

Une seule question :

A quoi songe Jeanpop2, ainsi recueilli devant la tombe du Général de Gaulle ? 

 

Les lots pour les vainqueurs seront les suivants :

1- L'acétate original du "Got a little woman" d'Adrian Lloyd

2- L'immortalité

3- Une machine à enfoncer des cassettes de Cheap Trick dans les oreilles.

Bonne chance !

Jeanpop2 et des groupies

Partager cet article
Repost0
23 mars 2006 4 23 /03 /mars /2006 21:29

           

Yeah.

Partager cet article
Repost0